Neuroethics with Jonathan D. Moreno – University of Pennsylvania
“Perhaps a man really dies when his brain stops, when he loses the power to take in a new idea.” –George Orwell. Neuroethics might well be the most rapidly growing area within bioethics; indeed, in some respects neuroethics has grown as an independent field, with its own journals, professional society and institutional centers.
This growth over the past decade is partly attributable to the growth of neuroscience itself and to the challenging philosophical and moral questions it inherently raises. A 2012 Royal Society report observes that “(a)n increasingly mechanistic understanding of the brain raises a host of ethical, legal, and social implications. This has laid the foundation for the emergent field of Neuroethics, which examines ethical issues governing the conceptual and practical developments of neuroscience. Irrespective of their validity, even the claims that modern neuroscience entails the re-examination of complex and sensitive topics like free will, consciousness, identity, and responsibility raises significant ethical issues. As such, neuroethics asks questions that extend beyond the usual umbrella of biomedical ethics.” This course will, therefore, consider the new knowledge and ways of learning about the brain from scientific and ethico-legal and social standpoints. We will examine the core themes of neuroethics, including cognitive enhancement, the nature of the self and personhood, neuroimaging and privacy, and the ways that all these themes are brought together in matters affecting national security.
“Peut-être qu’un homme meurt réellement lorsque son cerveau s’arrête, lorsqu’il perd le pouvoir d’assimiler une nouvelle idée.” -George Orwell. La neuroéthique pourrait bien être le domaine qui connaît la croissance la plus rapide au sein de la bioéthique ; en effet, à certains égards, la neuroéthique est devenue un domaine indépendant, doté de ses propres revues, sociétés professionnelles et centres institutionnels.
Cette croissance au cours de la dernière décennie est en partie attribuable à la croissance des neurosciences elles-mêmes et aux questions philosophiques et morales difficiles qu’elles soulèvent intrinsèquement. Un rapport de la Royal Society de 2012 observe qu’« une compréhension de plus en plus mécaniste du cerveau soulève une multitude d’implications éthiques, juridiques et sociales. Cela a jeté les bases du domaine émergent de la neuroéthique, qui examine les questions éthiques régissant les développements conceptuels et pratiques des neurosciences. Indépendamment de leur validité, même les affirmations selon lesquelles les neurosciences modernes impliquent le réexamen de sujets complexes et sensibles comme le libre arbitre, la conscience, l’identité et la responsabilité soulèvent d’importantes questions éthiques. En tant que telle, la neuroéthique pose des questions qui dépassent le cadre habituel de l’éthique biomédicale. Ce cours abordera donc les nouvelles connaissances et modalités d’apprentissage sur le cerveau d’un point de vue scientifique, éthico-juridique et social. Nous examinerons les thèmes centraux de la neuroéthique, notamment l’amélioration cognitive, la nature de soi et de la personnalité, la neuroimagerie et la vie privée, ainsi que la manière dont tous ces thèmes sont réunis dans les questions touchant à la sécurité nationale.
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